Le PKK, que l’on a tout d’abord pris en Europe pour une organisation culturelle, s’y est implanté sous forme de diverses associations, centres culturels et bureaux de représentation. C’est d’ailleurs grâce à cette structure que les terroristes peuvent se livrer au trafic et à la vente de stupéfiants.
TÜRKSES – 07.04.2008
Pour l’UE, symbole de la démocratie, le PKK n’est plus une organisation terroriste
Les juges européens ont annulé jeudi une décision de l’UE de 2002 d’inscrire le PKK sur sa liste d’organisations terroristes. La décision annulée par le tribunal de première instance de la Cour européenne de justice remonte à 2002, lorsque la liste terroriste de l’Union européenne a été mise au point pour la première fois dans la foulée des attentats de 2001. Mais cette liste a été plusieurs fois actualisée en vertu de nouvelles décisions européennes.
La Cour européenne de justice, qui siège à Luxembourg, a annulé la décision du Conseil de l’Union européenne d’inclure le PKK dans la liste noire des organisations terroristes. La Cour a annoncé sa décision de retirer le PKK et le Kongra-Gel de la liste des organisations terroristes.
Osman Ocalan, en utilisant le titre de chef du PKK par l’intermédiaire de ses avocats au Luxembourg, où se situe la Cour, avait sollicité que le nom du PKK inclus le 2 mai 2002 dans la liste des organisations terroristes, soit retiré de la liste.
De nombreux pays de l’UE ferment ainsi les yeux sur les activités du PKK sur leur territoire respectif. Ces pays prétextent la différence de règlement juridique. Des associations ou fondations établies dans ces pays sont en étroite relation avec le PKK vendent de la drogue et forment des terroristes. Les autorités des pays en question ne montrent aucune réaction.
Le ministre turc de la Justice, Mehmet Ali Sahin, a néanmoins fustigé jeudi l’arrêt de la Cour européenne de justice (CEJ) annulant la décision de l’Union européenne en 2002 d’inscrire le PKK sur sa liste des organisations terroristes.
Le ministre turc a sévèrement critiqué la CEJ. "Les juges auraient dû bien réfléchir avant d’émettre un tel arrêt, qui affaiblit la lutte internationale contre le terrorisme", a déclaré M. Sahin à Karabuk, une ville du nord de la Turquie.
TÜRKSES – 07.04.2008
Pour l’UE, symbole de la démocratie, le PKK n’est plus une organisation terroriste
Les juges européens ont annulé jeudi une décision de l’UE de 2002 d’inscrire le PKK sur sa liste d’organisations terroristes. La décision annulée par le tribunal de première instance de la Cour européenne de justice remonte à 2002, lorsque la liste terroriste de l’Union européenne a été mise au point pour la première fois dans la foulée des attentats de 2001. Mais cette liste a été plusieurs fois actualisée en vertu de nouvelles décisions européennes.
La Cour européenne de justice, qui siège à Luxembourg, a annulé la décision du Conseil de l’Union européenne d’inclure le PKK dans la liste noire des organisations terroristes. La Cour a annoncé sa décision de retirer le PKK et le Kongra-Gel de la liste des organisations terroristes.
Osman Ocalan, en utilisant le titre de chef du PKK par l’intermédiaire de ses avocats au Luxembourg, où se situe la Cour, avait sollicité que le nom du PKK inclus le 2 mai 2002 dans la liste des organisations terroristes, soit retiré de la liste.
De nombreux pays de l’UE ferment ainsi les yeux sur les activités du PKK sur leur territoire respectif. Ces pays prétextent la différence de règlement juridique. Des associations ou fondations établies dans ces pays sont en étroite relation avec le PKK vendent de la drogue et forment des terroristes. Les autorités des pays en question ne montrent aucune réaction.
Le ministre turc de la Justice, Mehmet Ali Sahin, a néanmoins fustigé jeudi l’arrêt de la Cour européenne de justice (CEJ) annulant la décision de l’Union européenne en 2002 d’inscrire le PKK sur sa liste des organisations terroristes.
Le ministre turc a sévèrement critiqué la CEJ. "Les juges auraient dû bien réfléchir avant d’émettre un tel arrêt, qui affaiblit la lutte internationale contre le terrorisme", a déclaré M. Sahin à Karabuk, une ville du nord de la Turquie.
"J’aurais aimé qu’ils viennent en Turquie et qu’ils voient les menaces" que fait peser le PKK, a poursuivi le ministre de la Justice. "Mais bien entendu, ils ont pris la décision chez eux, où il n’y a aucun risque de terrorisme, loin de la réalité."
Le ministère turc de la Justice va étudier l’arrêt de la CEJ pour voir quelle contre-mesure il peut entreprendre, a indiqué M. Sahin.
A LIRE AUSSI:- La CEJ ordonne le retrait du PKK de la liste européenne des organisations terroristes
TÜRKSES – 07.04.2008
http://www.turkses.com/fr/index.php?option=com_content&task=view&id=1731&Itemid=32
Le ministère turc de la Justice va étudier l’arrêt de la CEJ pour voir quelle contre-mesure il peut entreprendre, a indiqué M. Sahin.
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TÜRKSES – 07.04.2008
http://www.turkses.com/fr/index.php?option=com_content&task=view&id=1731&Itemid=32
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